Deauville l'étincelante
Aujourd'hui, nous changeons de crèmerie. Terme humoristique puisque nous sommes en Normandie mais qui ne colle absolument pas au lieu où nous dormirons ce soir. Doudou, tu as fait le tour du studio ? Il est temps de passer le Pont des Belges et de quitter Trouville pour Deauville. Nous déposons les clés au bureau d'Interhome et garons la voiture près de l'hippodrome de Deauville : parking gratuit !!! Nous déposons les bagages à l'hôtel où nous dormirons ce soir (non non, je ne vous donne toujours pas son nom) et nous partons arpenter les rues deauvillaises.

Les villas deauvillaises, imposantes et fières demeures
Le changement de décor est radical. Je ne vais pas jouer les étonnées ni les surprises, ce n'est pas la première fois que nous sommes en villégiature à Deauville. Mais quand même. Derrière de hautes haies feuillues, se cachent des trésors d'architecture.

A la fois imposantes, fières et orgueilleuses, les demeures deauvillaises rivalisent de prestige et d'élégance.



Maisons théâtrales aux toits pentus, elles affichent des façades colorées, parfois biscornues, parfois linéaires.



Quelques frivoles arborent leurs 2 cheminées comme des bannières aguicheuses sous les fenêtres des rivales jalouses.



D'autres enfin délaissent le centre de la ville pour se reposer au bord de la mer et jouir d'une vue sur l'horizon lointain.

Derrière les balustrades, une Belle au Bois Dormant ensorcelée attend peut être qu'on la délivre de l'enchantement deauvillais.

Dans l'attente, elle se rêve étoile sur les planches, à contempler le soleil couchant qui, si on regarde bien, ressemble curieusement à celui de Trouville.

Alors, envoûtement ou enchantement ?

